◼️性関係はないと大他者の享楽(身体の享楽) |
「性関係はない」が真理なら、それはたんに享楽、身体として捉えられた大他者の享楽ゆえにである[S'il est vrai qu'il n'y a pas de rapport sexuel parce que simplement la jouissance, la jouissance de l'Autre prise comme corps](Lacan, S20, 26 Juin 1973) |
◼️性関係はないとトラウマの穴 |
我々はみな現実界のなかの穴を穴埋めするために何かを発明する。現実界には 「性関係はない」、 それが、トラウマの穴をなす[tous, nous inventons un truc pour combler le trou dans le Réel. Là où il n'y a pas de rapport sexuel, ça fait « troumatisme ».](Lacan, S21, 19 Février 1974) |
穴は非関係・性を構成する非関係によって構成されている[un trou, celui constitué par le non-rapport, le non-rapport constitutif du sexue](Lacan, S22, 17 Décembre 1974) |
※穴=喪失 |
穴、喪失の場処[un trou, un lieu de perte](Lacan, S20, 09 Janvier 1973) |
◼️性関係における女なるものは母 |
母として[quoad matrem]、すなわち《女なるもの》は、性関係において、母としてのみ機能する[…quoad matrem, c'est-à-dire que « la femme » n'entrera en fonction dans le rapport sexuel qu'en tant que « la mère »](Lacan, S20, 09 Janvier 1973) |
男は、間違ってひとりの女に出会い、その女とともにあらゆることが起こる。つまり通常、「性交の成功が構成する失敗 」が起きる[L'homme, à se tromper, rencontre une femme, avec laquelle tout arrive : soit d'ordinaire ce ratage en quoi consiste la réussite de l'acte sexuel.] (Lacan, Télévision, AE538, Noël 1973) |
男は女に興味などない、もし母がなかったら。[un homme soit d'aucune façon intéressé par une femme s'il n'a eu une mère.] (Lacan, Conférences aux U.S.A, 1975) |
男は女と寝てみることだ、そうしたら分かる。それで充分だ。逆も一緒だ[il suffirait qu'un homme couche avec une femme pour qu'il la connaisse voire inversement.]( Lacan, S24, 16 novembre 1976) |
◼️母なる女と享楽の穴 |
(原初には)母なる女の支配がある。語る母・幼児が要求する対象としての母・命令する母・幼児の依存を担う母が。女なるものは、享楽を与えるのである、反復の仮面の下に。[…une dominance de la femme en tant que mère, et : - mère qui dit, - mère à qui l'on demande, - mère qui ordonne, et qui institue du même coup cette dépendance du petit homme. La femme donne à la jouissance d'oser le masque de la répétition. ](Lacan, S17, 11 Février 1970) |
享楽は、抹消として、穴埋めされるべき穴として示される他ない[la jouissance ne s'indiquant là que pour qu'on l'ait de cette effaçon, comme trou à combler. ](Lacan, Radiophonie, AE434, 1970) |
◼️女なる神と子供を孕む女 |
問題となっている女なるものは、神の別名である。その理由で女なるものは存在しないのである[La femme dont il s'agit est un autre nom de Dieu, et c'est en quoi elle n'existe pas](Lacan, S23, 18 Novembre 1975) |
私のS(Ⱥ)、それは「大他者はない」ということである。無意識の場処としての大他者の補填を除いては。mon S(Ⱥ). C'est parce qu'il n'y a pas d'Autre, non pas là où il y a suppléance… à savoir l'Autre comme lieu de l'inconscient〔・・・〕 人間のすべての必要性、それは大他者の大他者があることである。これを一般的に神と呼ぶ。だが精神分析が明らかにしたのは、神とは単に女なるものだということである。 La toute nécessité de l'espèce humaine étant qu'il y ait un Autre de l'Autre. C'est celui-là qu'on appelle généralement Dieu, mais dont l'analyse dévoile que c'est tout simplement « La femme ». |
女なるものを"La"として示すことを許容する唯一のことは、「女なるものは存在しない」ということである。女なるものを許容する唯一のことは神のように子供を身籠ることである。La seule chose qui permette de la désigner comme La… puisque je vous ai dit que « La femme » n'ex-sistait pas, …la seule chose qui permette de supposer La femme, c'est que - comme Dieu - elle soit pondeuse. 唯一、分析が我々に導く進展は、"La"の神話のすべては唯一の母から生じることだ。すなわちイヴから。子供を孕む固有の女たちである。 Seulement c'est là le progrès que l'analyse nous fait aire, c'est de nous apercevoir qu'encore que le mythe la fasse toute sortir d'une seule mère - à savoir d'EVE - ben il n'y a que des pondeuses particulières. (Lacan, S23, 16 Mars 1976) |
◼️神=母なる超自我 |
一般的には神と呼ばれるもの、それは超自我と呼ばれるものの作用である[on appelle généralement Dieu …, c'est-à-dire ce fonctionnement qu'on appelle le surmoi. ](Lacan, S17, 18 Février 1970) |
母なる超自我は原超自我である[le surmoi maternel… est le surmoi primordial ]〔・・・〕母なる超自我に属する全ては、この母への依存の周りに表現される[c'est bien autour de ce quelque chose qui s'appelle dépendance que tout ce qui est du surmoi maternel s'articule](Lacan, S5, 02 Juillet 1958、摘要) |
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心的装置の一般的図式は、心理学的に人間と同様の高等動物にもまた適用されうる。超自我は、人間のように幼児の依存の長引いた期間を持てばどこにでも想定されうる。そこでは自我とエスの分離が避けがたく想定される。Dies allgemeine Schema eines psychischen Apparates wird man auch für die höheren, dem Menschen seelisch ähnlichen Tiere gelten lassen. Ein Überich ist überall dort anzunehmen, wo es wie beim Menschen eine längere Zeit kindlicher Abhängigkeit gegeben hat. Eine Scheidung von Ich und Es ist unvermeidlich anzunehmen. (フロイト『精神分析概説』第1章、1939年) |
※幼児の依存[kindlicher Abhängigkeit]=《母への依存性[Mutterabhängigkeit]》(フロイト『女性の性愛 』第1章、1931年) |
◼️大他者の享楽=大他者の性の享楽 |
大他者の享楽ーーこの機会に強調しておけば、ここでの大他者は「大他者の性」であり、さらに注釈するなら、大他者を徴示するのは身体である[la jouissance de l'Autre - avec le grand A que j'ai souligné en cette occasion - c'est proprement celle de « l'Autre sexe », et je commentais : « du corps qui le symbolise ». ](Lacan, S20, 19 Décembre 1972) |
大他者の性は、両性にとって女性の性である。男たちにとっても女たちにとっても女性の性である[the Other sex as such, for both sexes, is the female sex. It is the Other sex both for men and women. ](J.-A. MILLER, The Axiom of the Fantasm, 2009) |
◼️大他者の享楽=モノの享楽=喪われた対象の享楽 |
享楽の対象は何か?[Objet de jouissance de qui ?] (…) これが「大他者の享楽」を意味するのは確かだろうか? 確かにそうだ! [Est-il sûr que cela veuille dire « jouissance de l'Autre » ? Certes !] 〔・・・〕 享楽の対象としてのモノは、快原理の彼岸にあり、喪われた対象である[Objet de jouissance …La Chose…au niveau de l'Au-delà du principe du plaisir…cet objet perdu](Lacan, S17, 14 Janvier 1970、摘要) |
※究極の喪われた対象=胎盤 |
例えば胎盤は、個人が出産時に喪なった己れ自身の部分を確かに表象する。それは最も深い意味での喪われた対象を徴示する[le placenta par exemple …représente bien cette part de lui-même que l'individu perd à la naissance, et qui peut servir à symboliser l'objet perdu plus profond. ](Lacan, S11, 20 Mai 1964) |
◼️現実界=モノ=母(母の身体) |
フロイトのモノを私は現実界と呼ぶ[La Chose freudienne (…) ce que j'appelle le Réel ](Lacan, S23, 13 Avril 1976) |
母なるモノ、母というモノ、これがフロイトのモノ[das Ding]の場を占める[la Chose maternelle, de la mère, en tant qu'elle occupe la place de cette Chose, de das Ding.](Lacan, S7, 16 Décembre 1959) |
モノの中心的場に置かれるものは、母の神秘的身体である[à avoir mis à la place centrale de das Ding le corps mythique de la mère,] (Lacan, S7, 20 Janvier 1960 ) |
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◼️偉大な母なる神 |
歴史的発達の場で、おそらく偉大な母なる神が、男性の神々の出現以前に現れる。〔・・・〕もっともほとんど疑いなく、この暗黒の時代に、母なる神は、男性諸神にとって変わられた。Stelle dieser Entwicklung treten große Muttergottheiten auf, wahrscheinlich noch vor den männlichen Göttern, (…) Es ist wenig zweifelhaft, daß sich in jenen dunkeln Zeiten die Ablösung der Muttergottheiten durch männliche Götter (フロイト『モーセと一神教』3.1.4, 1939年) |
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ロバート・グレーヴスが定式化したように、父自身・我々の永遠の父は、白い女神の諸名のひとつに過ぎない [comme le formule Robert Graves, le Père lui-même, notre père éternel à tous, n'est que Nom entre autres de la Déesse blanche](Lacan, AE563, 1974) |
言葉は根源において祈りである。しかし宗教は父に向かった。この父は基本的に、最初の神性である母の代理人である[la parole est dans son fond prière, mais avec ceci que, dans la religion, elle se dirige vers le père – ce père qui est au fond un substitut de la première divinité, laquelle est maternelle. ]〔・・・〕 全能の力、われわれはその起源を父の側に探し求めてはならない。それは母の側にある。偉大なる母、諸神のなかの最初の白い神性であり、父なる諸宗教に先行する神だとわれわれは教えられている。[La toute-puissance, il ne faut pas en chercher l'origine du côté du père, mais du côté de la mère, de la Grande Mère, première parmi les dieux, la Déesse blanche, celle qui, nous dit-on, a précédé les religions du père.] (Jacques-Alain Miller, MÈREFEMME, 2016) |